Adélaïde Feriot s’intéresse à l’invisible, à l’inaudible et à l’intangible, comme les plasmas du soleil, le flash vert au lever et au coucher du soleil, les aurores boréales ou le Chant de la Terre, un phénomène sonore géomagnétique. Son œuvre monumentale et mystique constitue un passage du perceptible à l’imperceptible, un univers de pensée qui s’inscrit dans la tradition monastique.
Adélaïde Feriot : « L’un des plus grands défis de notre siècle est sans doute de changer notre regard et notre rapport à la nature. Tout sur la planète est interconnecté. Je propose une continuité entre l’homme et l’univers et j’envisage la possibilité d’une fusion entre nos corps et les éléments ».